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Mont-Tragique | noeuds
https://noeuds.wordpress.com/2016/09/21/mont-tragique
De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Es absurd que sea. La menthe de cinq jours →. Du vertige des sauts. Du haut de Mont-Tragique. A l’effluve langueur des eaux. Se dessine hors du cercle visible. Une silhouette qui est. Topographie de l’amour dont les interdits forment les contours. Sur le même thème. Laisser un commentaire Annuler la réponse. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:. Adresse de messagerie (obligatoire). La menthe de cinq jours.
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noeuds | de la surface houleuse | Page 2
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Autre mixture schizophrène cette fois sans mon chien, ou, sophía, xavier voit noir que je t’avais dit quand t’étais pas morte. Je ne suis plus beau. Il fait trop chaud. J’ai froid mais vingt-. J’ai pu l’droit. Comme si n’é-. Tait plus en mon droit d’être. Fêlure passagère à reconnaitre. Revers inavoué de mon regard sur qui j’ai-. Et je n’ai plus le droit d’être. Le givre sur les fenêtres. A le même look que de la sueur. Mon père se sa-. À tous les souère.
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Madore (Nancy). | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Voix, suivi de : Mon tissu. →. Avec son autre main y’arrêtait pas de me faire Salut! Avec ses grands yeux, pis ses cheveux! 8211; Sur quoi tu souffles demême? Qu’elle m’avait demandé, ma Nancy, pour qui ça prenait un rien pour se faire du fun. Y’é mieux d’en rester, de l’eau, dans ton arrosoir. Pis là, en descendant le petit chemin de gravier pour se rapprocher, elle m’avait dit :. 8211; Y’en reste. Après ça elle s’était rentrée la main dans l’arrosoir ...
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Littérature | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. A la tombée des nues. Voix, suivi de : Mon tissu. Retour sur la nuit et le jour. Autre mixture schizophrène cette fois sans mon chien, ou, sophía, xavier voit noir que je t'avais dit quand tu étais pas morte. Pourquoi je commencerais toujours par cette nuit même le jour. Art de la fugue. La menthe de cinq jours. Es absurd que sea. Art de la fugue. Pourquoi je commencerais par cette nuit meme le jour. Propulsé par WordPress.com.
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A la tombée des nues. | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Autre mixture schizophrène cette fois sans mon chien, ou, sophía, xavier voit noir que je t’avais dit quand t’étais pas morte. Mumbaï. →. A la tombée des nues. Ce soir, les cailloux tombent sans raison vraiment. Personne ne s’est encore demandé ce que tous ceux-ci faisaient là. Shawn, X et Y lancent de la rocaille, voilà tout, du haut d’un bâtiment égaré dans la campagne. Voilà tout. Rien de plus. Shawn s’approche de X et lui demande :. 8211; X X! Y, à ...
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art de la fugue | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Pourquoi je commencerais par cette nuit meme le jour. Es absurd que sea →. Art de la fugue. À ne plus aller devant. Dehors plus rien ne bouge. Plus que le vent ne pousse. En toi retournée dors. Que les esprits éloignés. S’approchent et observent. La prière et les fruits du repas. Alors que dehors rien n’est encore. Dehors rien non plus n’est venu. Revenu là ou que tu l’aies. En toi la disparition. Sonne le glas où. En toi rien n’est plus. Art de la fugue.
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pourquoi je commencerais par cette nuit meme le jour | noeuds
https://noeuds.wordpress.com/1989/12/30/pourquoi-je-commencerais-par-cette-nuit-meme-le-jour
De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Art de la fugue →. Pourquoi je commencerais par cette nuit meme le jour. Cette nuit si j’osais. Retourner dans les mésanges. M’étourdir de ma science. Encore bien loin de mes anges. Du lieu premier de leurs ruines. Où ne sourd que le silence. Tout ce que je voudrais. C’est montrer à quelqu’un. Ne serait-ce belle comme la musique l’est. Ne devrais-je plus y retourner. C’est un cauchemar où un rêve. Où les gens passent. C’est une chanson indienne. Blogueu...
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Mumbaï. | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. A la tombée des nues. Madore (Nancy). →. Nous dirons au revoir pour toujours. Laissant sur une tuile reculée. Dans le couloir nous saluerons l’hôtesse. Une cocotte noire aux cheveux bouclés. Et nous déciderons d’un jour encore rester. En nous jetant hors d’hublots. Nous dirons au revoir pour toujours. Laissant sur de l’huile reflétés. Deux baisers en lassos. Sur la jetée nous saluerons le capitaine. Un homme marié aux ongles limés. Sur le même thème.
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Dans la chambre. | noeuds
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De la surface houleuse. Aller au contenu principal. Voix, suivi de : Mon tissu. Pourquoi je commencerais par cette nuit meme le jour →. Je m’imagine t’embrasser dans l’ombre d’une latte du planché relevée. Est le lampadaire à la fenêtre. C’est lui qui rend possible l’ombre dans lequel nous sommes cachés. Et éclaire dans la rue. Qui sont le bourdonnement de nos cœurs. À l’heure de ces instants. Il n’y a que toi et moi. En cet endroit nul part loin d’être ailleurs. Nous sommes tout petits. Sur le même thème.
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